PROJETS EN COURS

Je film l’éclat d’âme qui survit quand tout casse.

Je crée des fictions ancrées dans le réel, où le mythe et la modernité s’entrechoquent. Chaque film explore une fracture intime ou sociale, à travers une esthétique poétique. Mon univers mêle symboles, corps entravés et gestes d’émancipation.

L'HOMME AU BOUCLIER BRISÉ

Projet prêt à entrer en production. En recherche de collaborateurs.trices.

COURT MÉTRAGE 15min

GENRE Drame Poétique, Mythe Moderne

THÈME La résilience et le poids des rôles

LANGUE Française

SCÉNARISTE Bénétos Briat

Un Mad Max brisé, dans une ambiance à la Drive, une esthétique précise et instable à la Bong Joon-ho, portée par l’émotion poétique de Jaco Van Dormael.

PITCH :

Dans une station-service, quelque part entre la poussière d’un désert et le silence d’un purgatoire, des “âmes” perdues attendent. Arrive alors un motard, à l’allure de chevalier moderne fatigué, qui ne ressemble déjà plus à un héros. Sur son dos : un bouclier massif, brisé. Il avance lentement. À chaque pas, lourd, maladroit, il perd des morceaux de son bouclier, des morceaux de lui-même. Il est en quête. Pas de gloire, ni de victoire. Mais de réparation. Et au moment de toucher l’objet de sa quête, un réflexe surgit. L’habitude. La protection. Et tout échoue. Alors le motard s’écroule, lourdement, émotionnellement. Peut-être même définitivement.

A PROPOS DU FILM :

L’Homme au Bouclier Brisé explore la figure du héros à travers sa faille. Inspiré d’un poème de Lilou Inigo, le film questionne le rôle imposé aux hommes : celui du protecteur sacrificiel, fort parce qu’il se tait, jusqu’à l’effondrement. Ici, le héros n’est pas glorieux : il est épuisé, fissuré, au bord de la rupture. Chaque éclat de bouclier est un fragment de lui-même perdu. La station-service devient un théâtre mythique où se croisent silences, cicatrices et regards qui disent l’indicible. La caissière, témoin muet, incarne le chœur antique qui révèle ce que le héros ne peut exprimer. La fillette, quant à elle, choisit librement de porter un bouclier, non comme un rôle, mais comme un rêve. Le film propose une mythologie moderne où la résilience, sans triomphe ni gloire, devient l’acte véritablement héroïque.

LONG MÉTRAGE Compatible

ICI

Intéressé, parlons-en

POÈME À l’origine de L’Homme au Bouclier Brisé

« Un homme qui se plein est un bouclier bon à rien»

Lilou Inigo poète au 80 000 abonnés sur Instagram

Lien de Lilou Inigo sur Instagram ici

Bénétos_Briat_Scénariste_Réalisateur_CourtMétrage_Quand mon corps m'a vu

QUAND MON CORPS M'A VU

Scénario en développement. Ouvert aux partenariats.

COURT MÉTRAGE 15min

GENRE Fable moderne ; corps et identité

THÈME L’intimité du corps face à notre propre regard.

LANGUE Française

SCÉNARISTE Bénétos Briat

PITCH :

Gille est un homme en surpoids. Il court, s’épuise, obéit aux injonctions de la société moderne comme à des ordres de survie. Mais son corps, lui, reste sourd. Il résiste. Jusqu’au jour où Gille force trop, et s’effondre. C’est là que tout bascule : dans ce vide, son propre corps lui parle. Et dans cette voix, c’est toute sa vie qui se reconfigure.

"Quand mon corps m’a vu" est une fable contemporaine sur l’épuisement, la honte et la réconciliation. Le moment où l’on découvre que le pire regard… c’était peut-être le nôtre.

A PROPOS DU FILM :

"Quand mon corps m’a vu" raconte une réconciliation intime et radicale : celle d’un homme avec son corps, son histoire, et sa vérité. Le film s’inspire d’une observation scientifique : « Le métabolisme humain, adapté à survivre aux famines, devient aujourd’hui un ennemi dans une société d’abondance. »

Mais au-delà du corps, c’est une question intime qui est posée :
Et si notre chair, notre poids, nos failles… étaient juste des façons que le corps a trouvées pour continuer à nous aimer malgré tout ?

ICI

Intéressé, parlons-en

ALLÉGORIA

Scénario terminé (V01 disponible). Recherche accompagnement au développement.

COURT MÉTRAGE 30min

GENRE Drame allégorique, Mythe Moderne

THÈME La perte d'humanité dans un système qui broie les individualités.

LANGUE Française

SCÉNARISTE Bénétos Briat

PITCH :

Marie est une éternelle stagiaire dans une entreprise kafkaïenne, où les supérieurs ont des têtes de singes et les règles changent chaque jour.
Un matin, elle découvre que les critères d’évaluation ont basculé : d’employée modèle, elle devient défaillante. La direction lui tend alors un piège : être embauchée en rejetant la faute sur son supérieur… ou garder son intégrité, et rester à sa place. Elle signe. Avec le stylo du patron. Un objet étrange, peut-être magique. En sortant, elle le garde. Par oubli. Un oubli qui devient un choix. Quelque part, elle espère que ce geste, cet objet lui rendra sa liberté.

A PROPOS DU FILM :

Que se passe-t-il quand on cède à l’uniformisation au nom de l’intégration ? Quand on perd notre humanité pour s’adapter à des règles absurdes, brutales, mais socialement récompensées ? Nous avons tous en nous cette part animale, pulsionnelle, sociale et plus on obéit sans questionner, plus elle prend le dessus.

Allégoria est un mythe moderne sur la perte d’individualité dans un monde qui récompense la conformité. Ici, plus on obéit, plus on s’adapte, plus on grimpe… et plus on devient un.e homme/femme-singe. Non pas par caricature, mais par régression : on cède à ce que l’humain a de plus brut, de plus primitif, de plus pulsionnel.

Marie, elle, tente de rester humaine. Mais à quel prix ?